Écrire pour Google ou pour ses lecteurs : faut-il vraiment choisir ?
- Annick Vivicorsi
- 11 juin
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : 22 août
Lorsqu’on rédige du contenu pour un site Internet, une question revient souvent : faut-il écrire pour plaire à Google ou pour intéresser ses lecteurs ? C’est une fausse opposition. En réalité, les deux objectifs doivent coexister, et c’est leur équilibre qui fait la force d’un bon texte optimisé SEO.
Voici comment concilier exigence éditoriale et performance de référencement.

1. Ce que veut Google, c’est ce que cherchent les utilisateurs
Contrairement à ce que l’on croit, Google ne favorise pas les textes surchargés de mots-clés. L’algorithme cherche à identifier les contenus :
utiles,
structurés,
clairs,
répondant à une intention précise.
Un bon article SEO ne consiste pas à répéter 15 fois une expression. Il s’agit de répondre de manière approfondie à une recherche réelle.
2. Identifier l’intention derrière chaque mot-clé
Avant d’écrire, il faut comprendre pourquoi une personne tape cette requête.Par exemple :
“prix site Internet Wix” → intention commerciale
“comment rédiger une meta description” → intention informative
“meilleur naturopathe Lyon” → intention de comparaison ou de prise de rendez-vous
Un bon contenu SEO commence par une analyse de l’intention.C’est ce que je fais systématiquement dans le cadre de mes prestations :voir les offres SEO
3. Structurer le contenu pour Google ET pour l’humain
Un bon texte SEO suit une logique claire, facile à lire à l’écran. Voici les éléments fondamentaux :
Une balise H1 unique et cohérente
Des titres H2 pour chaque grande idée
Des paragraphes courts (4 lignes max)
Des listes à puces pour les points clés
Des mots-clés secondaires placés naturellement
Ces bonnes pratiques facilitent à la fois :
l’indexation par Google,
la lecture rapide par l’internaute,
le référencement sur des expressions longues.
4. L’importance du champ sémantique
Google ne cherche pas seulement des mots-clés. Il cherche des thématiques bien couvertes.
Exemple : un article sur la sophrologie peut inclure des termes comme “stress”, “respiration”, “détente musculaire”, “sommeil”, etc.
C’est en développant un champ lexical cohérent qu’on prouve à Google qu’on est pertinent.
5. Créer du contenu utile, pas seulement optimisé
Les articles qui performent sont ceux qui :
apportent des réponses concrètes,
contiennent des exemples ou des cas clients,
incitent à passer à l’action,
restent à jour.
Un contenu bien écrit pour le SEO doit être utile avant tout, sinon l’utilisateur quitte la page… et Google le remarque.
Je propose un accompagnement rédactionnel complet :Découvrir les offres SEO et blog
Conclusion
Écrire pour Google ou pour ses lecteurs, ce n’est pas un choix. C’est une exigence de double clarté :
la clarté pour les moteurs (structure, mots-clés, cohérence),
la clarté pour l’humain (utilité, lisibilité, ton juste).
Le bon contenu SEO est celui qui informe, guide, rassure… et convertit. C’est ce que je propose dans chacun des projets que j’accompagne.
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